Premier cycle - en savoir plus...

L'enseignement des sciences : un bon départ ?

Un article de Pierre Paccoud, ancien professeur de sciences à l'école Mathias Grünewald, sur l'enseignement des sciences au premier cycle, qui commence en 6e classe (12 ans), initialement publié dans la revue 1,2,3 Soleil, de l'APAPS.

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La triarticulation du cours principal

L'enseignement proposé aux élèves du premier cycle scolaire (7-14 ans) ne se résume pas uniquement à privilégier la transmission des savoirs et des connaissances par le canal cognitif, c'est à dire de manière intellectuelle. L'affectif, le ressenti, l'émotionnel tout comme l'agir et l'action jouent des rôles déterminants et complémentaires chez l'enfant.

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Le professeur de classe, un artiste

Outre le grand nombre d'activités artistiques cultivées quotidiennement par les élèves des écoles Steiner-Waldorf pendant toute la durée de leur scolarité, il est demandé au professeur de classe d'être lui même un « artiste pédagogue ».

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Pas de notes, pas de classements, pas de redoublements

Toute évaluation chiffrée visant à gratifier ou sanctionner par un système de notation ou de classement les acquisitions scolaires, les aptitudes, ou les comportements des élèves est exclue dans le premier cycle scolaire des écoles Steiner-Waldorf. Elle est remplacée par un bulletin de fin d'année où sont consignés les progrès, l'évolution générale, les acquis et les difficultés de l'élève.

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Pas de livres scolaires, mais un cahier de périodes

Tout manuel ou livre scolaire est exclu dans le premier cycle des écoles Steiner-Waldorf. Les cours sont pensés et élaborés par le professeur en fonction de l'âge et de la maturité de sa classe. A lui de leur donner une forme didactique originale, d'imaginer les exemples ou les images adaptées, à structurer ses cours en toute liberté et créativité.

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La place de l'art dans le premier cycle

L'enfant, entre 7 et 14 ans, se trouve placé entre deux mondes polaires. Celui de la petite enfance qu'il abandonne progressivement, celui de l'adulte qu'il acquiert petit à petit. Dans le premier, il a pu s'immerger dans le « flux » de vie qui le caractérise et dans lequel il a pu jouer, expérimenter, rêver, imaginer en toute liberté ; dans le second, il doit apprendre à penser avec logique, à structurer son savoir, à donner forme à ce qu'il apprend. Ces polarités peuvent être résumées par les termes VIE et FORME.

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